Kenzo Hatsuharuyukiko

Nom : Kenzo ( 剣 祖 / avec le "ken" de l'épée, et le "zo" d'ancêtre)
Prénom : Hatsuharuyukiko [初春雪子/ s'écrit avec les kanji : premier, printemps, neige, enfant ]
Âge :14ans

Grade/Métier : genin
Village :Suna no kuni
Affinité(s) élémentaire(s) éventuelle(s): Ne la connaît pas, mais sa famille est intégralement de type futon(vent). Sauf sa soeur, de type doton( terre ). ( facultatif, vous n'êtes pas obligé de l'avoir. )

Physique :

Hauteur: 1,53 M

Poids: 45 Kg

Pointure: 36

Tour de taille: 34

Tour de hanche: 36

Poitrine: inconnue à cette adresse.


La première caractéristique frappante de la famille Kenzo est d'avoir les cheveux noirs et blancs. C'est un défaut génétique, un manque de mélanine qui leur rend la peau blanche et les yeux très clairs. La plupart sont aveugles ou n'y voient presque rien de ce fait, et meurent dès la naissance quand les rayons du soleil les touchent. Voila pourquoi Hatsuharuyukiko porte souvent un bandeau sur les yeux. Pour ne pas perdre complètement la vue. En dessous du tissu, ses iris sont ambrés, petits, comme toujours rétractés, et une couronne noire cercle sa pupille. Résidu de sa bonne santé lors de sa naissance. Comme pour tout les membres de son clan, cette auréole noire disparaît au fur et à mesure que son œil s'abîme .

Son visage est plutôt ovale. Quand elle était petite on la traitait souvent de batracien à cause de cela. L'arrête de son nez ressort un peu et lui donne un profil rigide. Son teint est bien sur pâle, mais sa peau est dure et elle ne laisse pas transparaître de rougeurs lors d'efforts, ou de fortes émotions. Ses lèvres son plutôt larges mais fines. Elle y porte une bague, qui rappelle le maquillage des geisha. A l'intérieur se trouve un poison, qu'elle put à tout moment s'injecter en la mordant. Tout les enfants de la famille Kenzo reçoivent dès leur plus jeune âge de quoi se suicider en cas de capture. Personne n'a jamais vu l'intérieur de sa bouche. Quand elle parle elle évite de remuer les lèvres. Certains disent qu'elle n'a pas de langue. D'autres, qu'elle est si longue et si grande, qu'en la laissant sortir, elle ne pourrait plus la remettre à sa place.

Ses habits sont souvent intégralement blancs. Des vêtements amples, qui ressemblent à un haut de kekogi ( voir habit pour pratiquer les arts martiaux) souple, tenu par une large ceinture, faisant plusieurs tours, comme un turban. En bas, une hakama, qu'elle attache avec plusieurs cordons pour se déplacer quand elle ne combat pas. Le but de cette tenue est de masquer ses déplacements. Elle a pour inconvénient d'être très lourde, facile à accrocher, et peu aérodynamique. Sa poitrine est toujours bandée.

On ne voit pas souvent ses mains. Cela pour les protéger des rayons du soleil. Quand elles sont visibles, elles sont gantées ou bandées. Le blason de son clan est brodé sur chacune de ses affaires: un ying yang, sans noir et blanc au milieu des deux goûtes qui forment un cercle. C'est le signe du sacrifice, exprimant le manque de mesure dans leurs gestes.

A noter: les ninjas du clan Kenzo ont toujours le visage masqué et ce, parfois même dans leur propre demeure. Seul quelques un d'entre eux sont à découvert pour représenter administrativement le clan. Les "découverts " servent d'identité en toute circonstance aux reste des membres. Ils assument pour eux le risque d'être reconnaissables de vue et de nom. ( le chef par exemple). La rumeur cour, disant que les Kenzo se sont peut être fait décimer pendant les guerres, et qu'ils le cachent en donnant l'illusion d'êtres nombreux par cet anonymat . D'autres histoires disent qu'ils ont tous le même visage et veulent cacher cette monstruosité.



Caractère : C'est une personne taciturne. On l'a rarement vu se comporter sympathiquement. Elle peu paraître désagréable et peu abordable. Les rêveurs la mettent souvent dans des états impossibles, et elle préfère ne pas être dérangée par leur présence. Ce n'est pas une personne solitaire, mais ce n'est pas une personne mondaine non plus. De toute façon, avec sa conception du bien et du mal, elle n'est pas de la meilleure compagnie.

Son principal défaut est la colère. Elle s'emporte très facilement et a du mal à le cacher. Personne ne peu la ramener à la raison quand elle voit rouge, c'est une vraie enfant, susceptible, puérile et très immature. Pourtant, elle sait ce qu'on attend d'elle. Par égoïsme ou manque de volonté elle se refuse à agir de manière réfléchit. Très impatiente, quand elle a une idée, elle préfèrera mourir que d'attendre une seconde de plus pour agir. L'inaction est pour elle une preuve de lâcheté. Les besoins vitaux, tels que le sommeil et la nourriture lui paraissent facultatifs. Voila pourquoi elle a beaucoup de mal à supporter le travail en équipe: parce que les autres ont toujours besoin de faire une pause, de se nourrir etc... Elle ne peut trouver le repos tant que ce qu'elle doit faire n'est pas réglé. Comme elle dit : " quand il y a un problème, ce qu'il faut faire n'est pas de trouver le moyen le plus agréable de le supporter, mais une solution pour le régler!"

La politesse est un des mots du code d'honneur de sa famille. Aussi, si elle se permettra d'être froide avec vous, elle ne sera jamais à craindre.
Les Kenzo sont en général des gens très portés sur les traditions, pratiquent les arts avec noblesse d'âme. Cependant, ce n'est pas pour autant qu'ils ne sont pas très méprisant et extrêmement peu diplomates. Ce sont des gens durs, à la mentalité peu indulgente. Ils ne sont en revanche pas fourbes, et se vengent très rarement. Leurs vies n'ayant aucun prix à leurs yeux- car "l'homme n'est rien" - la rancune n'est pour eux qu'une perte de temps. Ce qui ne les empêche pas d'être sévères, mais de l'être avec détachement.

Quand il s'agit d'être jugée en tant qu' individu, elle n'hésitera pas à être rustre, à manquer de tact et à être une vrai brute. Le contact physique est proscrit avec elle. Ne vous attendez donc à aucun élan de sympathie de sa part. Il est déconseillé d'ajouter des suffixes familiers à la suite de son nom, ou de l'appeler par son prénom. Essayer de sympathiser avec elle reviens à lui expliquer la physique quantique ou à inscrire " vive l'amour" à Kiri. Elle supporte plutôt mal les "jeux " divers, qui consistent à s'amuser avec n'importe quoi à plusieurs. Cela ne la divertit absolument pas et ne la fait vraiment pas rire. Plutôt une envie de hurler contre ces pertes de temps triviales et ennuyeuses à mourir.

Si vous avez l'impression qu'elle vous ignore, elle ne vous méprise pas forcément, et si elle ne pense pas de bien à votre sujet, elle n'en pense pas pour autant du mal.
Elle ne rompt jamais une promesse, mais n'en fais en principe justement: jamais; Pour ne pas avoir de responsabilité(s). Elle a horreur des contraintes.

S'attendrir sur les animaux, ou ses semblables n'est pas dans son répertoire. De nature très cartésienne et pragmatique, elle ne supporte pas les élans de tendresse injustifiés. L'instinct maternelle, elle suppose que certaines femmes l'ont. En tout cas, elle n'en a jamais vu dans son clan. L'adoration que l'on porte aux nouveaux nés est une énigme métaphysique pour elle. Si vous la voyez sourire à un enfant, c'est uniquement parce qu'elle a vu les autres réagir ainsi, et qu'elle suppose qu'on la laissera en paix si elle agit comme tout le monde. C'est un peu comme se laver les mains avant de manger: une formalité.

Ne lui demandez pas une alliance, elle ne veut surtout pas d'ennuis, et encore moins apportés par des inconnus.
Dernier point: elle se fiche éperdument d'être insultée. Sa famille n'a jamais été aimé, et malgré un tempérament violent et agressif, elle ne fait rien sans rien. Si il n'y a rien à gagner, elle ne bougera pas le petit doigt. Vous pouvez être en train de mourir, si elle n'est pas de bonne humeur, vous y resterez. Son égoisme ne connait pas le mot frontière. Et le plus important: vous ne pourrez même pas la faire travailler pour de l'argent: elle n'en veut pas, elle a horreur de détenir des choses précieuses.


AIME (facultatif ) : Seuls ceux qui la côtoient dans la demeure familiale le savent. Mais la rumeur cour qu'elle n'aime rien ni personne, même pas elle même. Comme c'est le cas pour tout les membres de sa famille.

N'AIME PAS ( facultatif ) : Cette liste s'est vendu en plusieurs tomes, un best seller.

Histoire :" Hatsuharuyukiko " , un nom à rallonge, pour des brimades quotidiennes à l'école. Affublée de la place de l'aînée, alors qu'elle ne l'est pas, elle endurera toute sa prime enfance le rejet des autres, étant dotée d'un visage tout sauf mignon. En effet, entre ses cheveux blancs, ses multiples cicatrices et ses cernes qu'elle a depuis sa naissance, elle n'a jamais donné envie à ses petits camarades de jouer avec elle.
Très pleurnicharde, son cas ne s'arrangea pas en grandissant, alors que chacun maîtrisait déjà les techniques du cours élémentaire, elle n'arrivait même pas à utiliser son chakra. Pour y voir correctement. Les Kenzo on recours à l'utilisation d'énergie qu'ils envoient à leurs yeux. Mais cet effort nécessitant trop de travail, elle n'arrivait pas à se concentrer sur quoique ce soit d'autre.

Ses parents eux, refusèrent de devenir ninja, et sont de simples hommes et femmes d'affaires au pays du vent.
Le réel aîné de la famille est une femme. Sa grande soeur, qui est née avec une aptitude naturelle pour le doton. Pour cela, on refusa de lui confier la succession des techniques des Kenzo. Ayant une santé très fragile, et tombant régulièrement malade, c'est elle qui prit toujours soin de cette petite soeur, n'étant pas née pour endurer la vie d'un shinobi. A ses douze ans, Hatsuharuyukiko tomba malade pendant plusieurs semaines. La famille commença à soupçonner que ce n'était pas naturel. Tous pensèrent à celle qui passait trop de temps à son chevet à leur goût. Ils attendirent et son état empira de jour en jour. Le médecin de famille alla jusqu'à déclarer que quelqu'un l'avait empoisonnée.

Il fut décidé que la traîtresse serait mise à mort. Elle fut donc emprisonnée, et son exécution, qui devait se tenir secrètement fut prévu. Secrètement car le clan Kenzo agissait et a toujours agis sans se soucier de la politique du village. Ayant leurs propres règles et leur vision des choses. Ne voulant pas être sermonnés par des "chochottes qui ne comprennent rien à la voie du shinobi, et qui font une nouvelle génération de ramollis".
Elle fut soumise à la "question", mot polie pour dire "torture", afin qu'elle avoue publiquement son crime. Mais au bout de trois jours infernaux, elle n'avouait toujours pas. Certains pensaient que c'était simplement une des héritières du clan Kenzo, et qu'elle était de toute façon formée pour se taire en cas de torture. D'autres pensaient qu'il y avait méprise. Et à chaque fois qu'on la laissait tranquille, ses seules mots concernaient la santé de sa soeur. Forcément, quand on va être exécuté et qu'on a subit la torture sans lâcher prise tout ce temps, c'est que l'on veut s'en sortir. Ou était la vérité?

Finalement, celle qu'on avait désignée en dépit de ses aînés, supplia qu'on la relâche, même si sa santé s'était énormément améliorée depuis qu'elle n'était plus en sa présence. Mais ce ne fut pas si facile. Personne ne porta attention au jugement de cet enfant naïve. Le chef de famille déclara alors que la jeune femme resterait esclave du clan et captive, jusqu'à ce qu' Hatshuharuyukiko soit en mesure de prendre sa place et de prendre une décision, quand elle aurait la maturité de le faire. Et cela ne représentait pas un cadeau de complaisance, plutôt une responsabilité censée faire affronter les lois de la réalité à son successeur.

Quand à son grand frère, il est né avec les cheveux intégralement blancs. Et les enfants qui naissent avec les cheveux complètements noirs ou complètements blancs sont considérés comme des anomalies. Ils sont sois disant porteurs de mauvais présages. Ce cas n'est pas rare, mais souvent les parents étouffent les enfants à la naissance dans ce cas, ou les font secrètement adopter pour qu'ils ne subissent pas ce sort.

C'est donc jalousée par les uns et surtout hais par la plupart qu'elle grandira, comme favorite aux yeux de son grand père, le dirigeant du clan. De plus, ses aptitudes n'étant pas à la hauteur de son rang, et ses aînés étant bien plus talentueux qu'elle, la désapprobation quand au choix d'en faire l'héritière du clan fut grande. A quatorze ans, elle réussi avec peine, et l'aie de nombreux précepteurs à passer ses examens. Elle ne sait pas pourquoi, elle n'arrive jamais à faire passer son chakra dans tout ses doigts en même temps, alors l'exécution de toute technique deviens très complexe. Il faut à chaque fois qu'elle fasse rapidement circuler son chakra d'un membre à l'autre, sans compter qu'au fur et à mesure la quantité dans certains endroits diminue. C'est pourquoi, souvent, soit elle n'arrive à rien produire, soit elle produit trop.
Ainsi, elle ne s'entraîne presque qu' exclusivement à la maîtrise du chakra secrètement, et feint d'avoir des faiblesses en techniques de taï jutsu, pour justifier son utilisation intempestive de ninjutsu.
Elle a cependant toujours tenu à garder sa position au sein de sa famille, afin que sa sœur ne subisse pas l'excommunication de leur clan, ou pire la mort, après diverses punitions.





Lien de parenté ( facultatif ) : La famille Kenzo compte quelques centaines de personnes.

Test RP : En raison d'un problème de place, se référer au post plus bas.

Avez-vous lu le règlement ? oui
Comment avez-vous connu le forum ? par un topsite
Vos disponibilités/horaires : Normalement, au moins une fois par jour.

Test de Rp

De longues graines inanimées voletaient sans mesure. De la même couleur, toujours. Blé, bouton d'or, citron, fleur de soufre… tout ces pigments qui n'avaient pourtant que l'odeur de la poussière de roche: le sable. Selon les anciens, Suna était entouré de désert car il était le tombeau du monde, le champ de guerre ou même les esprits avaient disparus. 0,063 et 2mm. C'était la taille minimum et la taille maximum de ces particules qui l'étouffaient. Pour elle, tout cela ne se pouvait. Si ce pays n'était que le témoignage d'un passé guerrier, la construction trop géométrique de tout cela montrait que rien n'était laissé au hasard. Les pentes de sable étaient toutes d'un angle de 30°. Une règle immuable qui la fascinait. Au-delà, c'est l'avalanche jusqu'à l'équilibre. En ce monde, tout avait une juste dose, les éléments, les émotions, et son chakra. La naissance et la mort sans doute aussi.

Les examens avaient commencé depuis une semaine. Chaque jour, chacun leur tour, ils entraient par groupe de trente, dans une pièce pour les épreuves théoriques. Trois jours pour montrer qu'on avait le droit d'être utile. C'était peu, mais c'était aussi déjà bien assez.
Chaque question l'avait agacé. Toutes, sauf une: " A quoi reconnaît-on un sable transporté par le vent d'un sable transporté par les autres éléments? ". Et cela, elle le savait parfaitement. Il y avait deux sortes de manières de déplacer le sable naturellement: l'eau et le vent. Par le vent, il est malmené, il est marqué, il brise ses cristaux. Avec l'eau il est rond, apprivoisé par sa force paisible, mené à la taille comme un bijoux. La terre, elle ne peut que l'engloutir, le dévorer. Triste sort que de naître dans une famille ou une armée de dragon affronte le serpent qui rampe. Le futon contre le doton. Et elle, que serait-elle? Quel amusement si jamais ces imbéciles l'avaient préféré à sa sœur, alors qu'elle ne maîtrisait pas le vent. A cette pensée, un sourire intérieur se dessina en faisant tourner son intestin de bonheur. Mais il n'était pas temps de se divertir. Car telles étaient le genre de pensées qui pouvaient la réjouir.

La voix claire et sanguine d'un maître retentit dans le couloir. Elle y était assise avec le reste des élèves, qui attendaient anxieusement, ou avec excitation, l'épreuve final. La sentence allait tomber. "Sentence", était-ce bien le mot?
Aucun bijoux, aucune amulette. Ici, il n'y avait pas besoin de chance, mais de maîtrise. Sentant le parfum de l'air qui s'engouffrait, elle emboîta le pas à ses camarades, et commença à disperser du chakra vers ses yeux, pour avoir la pleine capacité de ses mouvements. Elle sentit que son œil droit était gourmand, mais elle ne céda pas à ses caprices. Ce n'était pas un exercice de tir à l'arc.

Toutes les tables avaient été mises en rond. Trois professeurs avaient commencé à faire l'appel.
Un grand homme, aux jambes maigres et aux rides nombreuses, leva ses sourcils, et balaya toute la salle. L'épreuve était la suivante: A leur disposition, un tas de quelques grains de sable. Le travail s'effectuait par deux. Le but: faire pénétrer minimum trois graines de sables par une plaie, et arriver à faire faire un tour complet, dans tout les organes, aux matériaux. Le tout sans boucher les veines, sans que les grains ne se séparent. Bien sur, en cas de faux pas, l'autre devait assurer sa propre sauvegarde. L'exercice n'était pas mortel en cas d'échec, mais plutôt pénible, vu l'amas de chakra étranger qui pouvait être lâché en liberté dans son propre corps.
Regardant les groupes qui étaient appelés, Hatsuharuyukiko attendait de voir qui allait lui servir de partenaire. Elle se moquait éperdument du choix. Elle les connaissait tous. Ils n'étaient pas assez fous pour louper leur examen volontairement.
C'est une jeune fille avec une queue haute qui lui fut présentée. Elle l'avait déjà vu: Haruka Inamatsu. Son père avait cessé d'être un ninja après son examen de shunin. Une taille assez haute, des yeux étirés, et presque pas de sourcils. Elle la salua sans se présenter. Pas besoin de cela.

Pendant que l'examinateur et le reste de la salle attendaient, le tirage au sort désigna Haruka comme la première à exécuter l'exercice. Elle la regarda dans les yeux, confiante. Les battements de son cœur étaient très réguliers. Ce n'était pas une débutante. Elle malaxait maladroitement son chakra mais tout en elle inspirait le calme. La jeune Kenzo donna sa main docilement, en attendant que celle devant réaliser la manœuvre crée une ouverture dans sa peau. Elle ressentit un faible picotement, et ne vit même pas de sang s'écouler de la fine marque qu'elle avait reçu. Le premier grain flotta indigeament dans son corps. Elle ne sentait même pas l'énergie qui l'enveloppait. Pour le deuxième, ce fut un peu plus chaotique. Quand ce fut au tour du troisième, une légère bosse enfla sur ses phalanges. Elle ne dit pas un mot. Tant que la douleur n'était pas insupportable, pas question de montrer qu'il y avait un problème. Rapidement, elle fit circuler son propre chakra jusqu'à celui de sa condisciple, et commença à tirer elle-même ce qui peinait à s'aligner. Une résistance s'opéra. C'était Haruka. Elle refusait qu'on lui mâche le travail. Respectant cette volonté, il fallut être patiente. Ce qui n'était pas son fort. Son rythme cardiaque commençait à se dérégler. Sentir cet amas d' énergie, lui passant à travers chaque recoin, à travers chaque goûte de sang était plus qu'angoissant. Quand ce moment fut terminé, les deux étaient en sueur. Surtout celle qui avait subit cela sans broncher. La passivité ne lui avait pas été de tout repos.

Quelques équipes passèrent, le temps que ceux qui avaient déjà executé une partie de l'épreuve reprennent leurs esprits. Pour l'instant, aucun candidat n'avait échoué.
Puis, le temps d'inverser les rôles arriva.
Le sable. Quelle matière sans beauté, quelle matière irritante et envahissante. Mais il n'était pas temps de se plaindre. Elle se saisit de ce qu'on lui tendait, fit une rapide incision de quelques millimètres, qui sans le vouloir dépassa ce qu'elle avait tenté de faire. S'inquiétant de l'interprétation de son geste, elle jeta un bref regard vers celle à qui elle venait d'octroyer la coupure. Bien entendu, celle-ci restait impartiale. Quoique ce n'était pas pour l'intensité de la douleur, mais pour l'offense que sa maladresse aurait put représenter qu'elle s'inquiétait. L'examinateur, un jeune homme aux cheveux blonds, coupés en brosse, un œil fermé, tapait du pied, impatient.

Il fallait se concentrer. Elle fit lentement descendre son chakra à travers ses membres supérieurs. Un afflux rapide et gigantesque déferla. Rouvrant les yeux, elle faillit détourner sa main, mais heureusement, la circulation se calma. Elle reprit son souffle, sans laisser paraître qu'elle avait faillis faire sauter tout ses ongles en se déchirant la peau. Ne pouvant régler correctement tout cela, elle essaya de disperser le surplus dans plusieurs de ses doigts. Ce qui eut effectivement pour effet de renvoyer le trop plein d'où il provenait.
L'ascension commença, avec précipitation. Les trois grains de sables partirent en même temps dans les phalanges de la jeune fille. Soudain, le courant de chakra s'interrompit. L'autre le sentit immédiatement, et envoya sa propre énergie à la rencontre de celle qui déguerpissait sans prévenir. Le professeur regarda ce petit manège d'un œil suspect. Il hésitait surement à arrêter l'exercice. Mais l'air stoïque des deux jeunes filles ravisa son jugement.

La suite fut plus ardue. Sous le coup de la nervosité, Hatsuharuyukiko maîtrisait de plus en plus mal le mouvement continu des particules et manquait de bloquer à chaque endroit ou il fallait changer l'intensité de son flux. Mais en face, toujours aucune expression de peur ou de douleur. Il n'était pas tant de remercier cette personne, dont le self contrôle était admirable, mais ce n'était pas l'envie qui lui en manquait. Sentant une goutte perler le long de sa tempe, elle approchait des artères principales. Normalement, à ce niveau, tout irait plus vite. Le plus dur ne serait plus de maîtriser sa force, mais de ne pas laisser les grains se séparer. Effectivement, arrivée dans l'aorte, tout commença à trembler intérieurement. Haruka elle-même avait du mal à aider ses mouvements perspicaces mais fragiles. La complexité consistait aussi à prendre en compte les battements du coeur. Ils n'étaient jamais exactement les mêmes, et à chaque pulsasion manquait d'envoyer le tout directement à ce point vital, en quelques nano-secondes. Alors que la minutie était de mise.

Deux organes , et quelques gouttes salées plus tard, l'examen allait finir pour les deux candidates. Autour, un des aspirants était assis, l'air décontenancé. Sûrement y avait-il eut un problème, ou peut être était-il juste épuisé. Il faudrait se poser la question une autre fois.
Quand tout fut finit. La jeune fille aux cheveux bruns, attachés en queues de cheval aida la plus fatiguée des deux à faire sortir le dernière aspérité de roche hors de son corps, et sans octroyer ni grimace ni sourire eut un mouvement de recul pour saluer. Quand Hatsuharuyukiko posa son regard sur sa partenaire qui s'éloignait déjà en la regardant, peut être par politesse, peut être par étonnement, elle vit que sa plaie avait déjà cicatrisé. Étrange jeune fille. Non seulement belle, mais qui plus est douée. Sans elle, peut être que ce sable n'aurait même pas pénétré. Il vaudrait mieux ne plus avoir à douter de cela à l'avenir.

Hum... en regardant l'IP, je devine qu'il s'agit d'un double-compte. Il y a quelques soucis qui se présente :

- Tu n'as pas encore eu vraiment le temps de jouer ton autre personnage ( sans doute à cause du ralentissement du forum, ce qui n'est bien sûr pas de ta faute ), mais je préférerai que tu prennes d'avoir "l'habitude" de RP avec l'autre, d'intégrer ton personnage dans l'histoire en cours, etc...

- L'autre difficulté est que, normalement, le double-compte Kiri / Suna n'est pas autorisé en raison des alliances Suna - Konoha et Kiri - Oto, car on ne souhaiterait pas vous gâcher l'intérêt du jeu en vous montrant les deux camps opposés.

Bref, ça m'embête un peu pour toi, mais je peux pas vraiment faire d'écart, car j'ai déjà refusé cette possibilité à d'autres ( d'ailleurs, même les modos de Konoha / Suna ne savent pas ce qui se passent à Oto / Kiri, donc c'est pour dire ! ^^ )

Je t'ai envoyé un Mp. Je le précise ici, car je sais que tu en dois en recevoir beaucoup. Pour les éventuels autres admins qui passeraient, je peux tout de même préciser que je n'ai pas de double compte, et que j'en fournirais la preuve à l'appuie si il le faut. ( Naru tu comprendras surement comment je pourrais m'y prendre, comme tu le liras, ce serait plutôt facile. )

On va essayer de régler ça en MP, je te réponds tout de suite ! ^^

Test de Rp 2:

4 heures du matin, à Kiri no kuni. De la brume, toujours. De la peur, jamais. Quand un cris pouvait retentir, il été si vite étouffé, qu'on le confondait l'agonie avec le chant des oiseaux. Seulement, dans cet endroit, il n'y avait pas d'oiseaux. Seul un ninja du pays de Mizu no kuni pouvait le comprendre. Un endroit ou il faisait tellement bon vivre qu'on gardait secret son emplacement. Il y avait tant de choses à découvrir: "comment un humain pouvait rester plus de 24 heures en vie sans ses membres", ou encore, " qu'un adulte met plus de temps à mourir quand on l'étrangle qu'un enfant de moins de dix ans, en raison de la constitution de leurs os." Un camaïeu de personnalités avenante, feraient la joie de tous ces fanatiques de cette contrée qui s'ignorent. Même sans demander l'heure, on insiste pour vous la donner. Même si il est toujours la même heure à Kiri: l'heure de mourir.

D'un pas sans vie et d'une expression dépassant largement les limites de l'antipathique, Hatsuharuyukiko se dirigeait sans se presser vers les torrents de huées de la salle 3bis. Une paire de tabis avec une semelle épaisse en dessous. Les mains nues et le cœur laissé à la maison, peut être même dans l'écuelle du chien, elle contorsionnait son cou, en sentant chaque disque de sa colonne vertébrale faire des remous. Se grattant négligemment la gorge, elle aperçut des imbéciles qui fanfaronnaient devant le grand dôme de la salle d'examen. Ce matin, elle ne s'était pas privé de manger tout ce qui lui faisait envie. Elle ne pensait pas perdre, mais les autres non plus. C'était à se demander comment il y avait autant d'adultes alors que 50% des aspirants de l'académie finissaient à la fosse commune. Et encore, il n'était même pas sur qu'il en existe une. Si la terre était aussi fertile ici, ce n'était peut être pas que grâce à la pluie. Les chiens errants, qui n'avaient pas encore été utilisé pour être mangés par les pauvres ramenaient beaucoup d'os à moelles, et certains d'une longueur inquiétante. En tout cas, si c'était des carcasses de lapins ou de poulets, une émission de radiation devait avoir fait son affaire. C'était forcément des humains, et tout le monde le savait.

Elle entra dans le dôme. Des dizaines d'enfants attendaient. Disciplinés. Pourquoi? C'était peut être le dernier jour de leur vie. Mais elle non plus ne bronchait pas. A quoi bon fournir des efforts, alors que bientôt il faudrait signer un tas de papier... et bien sur tuer quelqu'un avant. Avec tout les morts qui enivrait les affaires de son frère et toute les charognes- ex résidus de ninjas ayant tenté de s'introduire chez eux- que parfois sa soeur ne prenait même pas la peine de faire bruler avant de s'endormir... Ce n'est pas comme si elle allait verser une larme de compassion pour un meurtre. Ce qui l'agaçait le plus était d'avoir à supprimer un enfant qui aurait finis par avoir du potentiel en grandissant.

Malheureusement, elle ne pouvait pas se permettre de se faire tuer aujourd'hui. Non, c'était bien ennuyeux; Encore une journée à obéir servilement, tourmenté par les cris, les exigences et les ordres. Tout ces gens n'avaient-ils donc pas appris qu'une oreille saine entend même les murmures? Et au plus le sang giclait au plus les hourras escaladaient le mur du son. Fatalement, son nom allait bien finir par arriver. Elle sentit les battements de son cœur lui donner signe de vie de la part de ses organes. Quelle sensation complétement inutile que cette peur et ces angoisses. A quoi avoir besoin d'être prévenu du danger si on avait décidé de l'affronter?

Ses membres tremblaient. Elle n'était pas la seule. La différence est que pour certains, c'était de l'excitation, d'autres, l'odeur de la mort. En bas, les candidats ne semblaient pas très concernés par les histoires réthoriques qu'elle s'infligeait.Quel dommage de ne pouvoir discuter de la supériorité autour d'une tasse de thé, et non d'un bête cours de couture sans fil.

Lors d'une rixe, les deux combattants perdirent la vie à quelques secondes d'intervalles. Elle ne put s'empêcher de rire en voyant l'examinateur déclarer l'un d'eux vainqueur même dans ces circonstances. Sa famille serait surement ravie de savoir qu'elle avait élevé un bon à rien, mort sans avoir put survivre à sa propre victoire. Quelle ironie.

Derrière elle, beaucoup de mouvement et des acclamations. Une fille se tenait recroquevillée sur un banc, juste à quelques centimètre du sien. Elle sanglotait et était restée figée en voyant cette autre personne ouvrir son gosier pour se moquer à gorge déployée. La jeune fille détourna son regard, en apercevant que l'une de ses potentielles meurtrière lui adressait un rictus. C'est en observant ce manège navrant qu'elle pensa à la vulnérabilité de sa propre condition. Bien sur, en voyant cette petite brune, qui aurait put être l'une de ses camarade de classe, elle avait envie de lui dire quelque chose. Mais à quoi bon? Peut être aurait-elle à lui enfoncer un kunai dans les yeux dix minutes plus tard. Si elle tombait sur elle d'ailleurs, il faudrait le prendre comme un avantage psychologique. Quoique l'instant de survie rend les apparences peu fiables. Qui sait, ailleurs, elle aurait fait une excellente fleuriste. Mais sa famille en avait surement décidé autrement, et elle allait surement y passer d'ici la fin de la matinée.

Finalement, vu que c'était peut être ses dernière paroles, elle eut un geste de bonté inattendue. Se retournant vers la charmante pré adolescente, elle lui adressa le sourire qui ressemblait le plus à ceux qu'elle avait vu ailleurs et lui dit:


" Si tu le désire, je peux t'achever maintenant.Moi au moins, je ne te ferai pas souffrir. "

La jeune fille eut la respiration coupée. Elle sembla tourner de l'œil un instant puis se reprendre. Reculant maladroitement, elle eut une expression de haine qu'on rencontre assez rarement. Même pas le temps de préciser qu'elle avait le droit de le prendre comme une plaisanterie. Elle s'était enfuie. La panique sans doute. Quelques mètres plus loin, le bruit d'un heurt se fit étouffer par le déchainement des autres aspirants, commentant les matches. Tout individu tentant de s'enfuir le jour du test était tué sans somation. Le corps portant encore les marques d'une peau ou s'agitait du sang fut ballasté par la porte à 8 mètres de hauteur du sol. Sans effusions, sans cérémonie. Si il fallait en plus se préoccuper du faste, les gens hésiteraient sans doute plus à hotter la vie comme on achète du pain. L'administration a toujours été le frein de tout effort superflu, ce qu'on appelle " le zèle".

Dommage, elle se retrouvait seule à présent. Dire que pendant toute l'année, elle n'avait pas pensé une seule fois au fait qu'elle allait s'ennuyer le dernier jour de sa vie. Visiblement, les autres avaient l'air aussi stressés qu'en buvant un verre d'eau. C'est à dire très peu, même si l' aquaphobie varie d'un individu à l'autre, il est rare que l'on craigne de se noyer dans 25 centilitre d'H2O.

Sans surprise et sans halleluja, son nom fut prononcé. Pour la première fois depuis bien longtemps. On lui fit même le plaisir de déchiffrer lentement les multiples kanji de son prénom. Après une rapide vérification de son identité, on lui présenta un jeune garçon, d'un ans son cadet. L'air morne, l'attitude nonchalante. C'est en réprimant un bâillement que l'arbitre ordonna le début du combat.

" Satoro Himemura". Ces deux stupides particules qui allaient lui causer tant d'ennuis de conscience. Ce n'est pas dans ces moments qu'elle aurait du penser à son karma, mais elle attendit tout de même de se faire blesser en premier. Histoire de n'avoir rien à se reprocher. Seulement, en face, on semblait faire absolument fi de ses états d'âme. Les échardes qu'on voulait bien lui prêter en guise de premier pas furent une tentative presque réussi de la tuer en un coup. En lui tranchant l'aorte.
Même devant le fait accomplis, elle avait du mal à s'imaginer qu'à la fin, il n'y aurait pas un professeur pour dire " ça suffit, équipe suivante! ".

Pour l'instant rien d'intéressant ne se passait. Le jeune garçon tentait désespérément de lui enfoncer un kunai dans la gorge et elle le repoussait de toute ses forces en geignant comme un animal. De la bave était en train de lui couler hors des lèvres. La dignité était absente de ce lieu. Pour tout dire, ça ne ressemblait en rien à l'héroïque combat, qu'elle s'était imaginée. Pourtant à l'entrainement, elle n'avait pas effectué de prouesses ou de cascades mirifiques. Mais on imagine jamais sa mort, comme un pitoyable assaut, digne de vulgaires singes étourdis.
A ce moment, elle regardait avec intensité les rides qui se formaient en haut de son nez, et déformait son expression autrefois plus impérieuse.

Pendant qu'elle était à quatre patte, en train d'essayer de se redresser, l'autre ne pensant qu'à la mettre sur le dos, alors qu'il aurait put la poignarder cent fois, elle se rappela d'un détail qu'elle avait omis à tort. Passant sa langue sur ses lèvres, elle sentait très bien la bague qui y était posée. Ses bras étaient pris et ses jambes n'étaient plus que de faibles tréteaux luttant contre la fête nationale après minuit. Elle finit par céder sous le poids nerveux de son assaillant et se retrouva sur le flanc, tenant sa tête contre sa gorge pour l'empêcher de la maitriser totalement.
Il n'était plus temps d'attendre, bientôt elle allait se faire poignarder et pour de bon. Elle appuya légèrement sur sa lèvre inférieur, et sentit une lame rentrer vers son poumon gauche. Sentant une douleur abominable, elle attrapa un morceau du menton qui se trouvait à quelques millimètre de sa perception et lui arracha la peau à pleine dents.

A ce stade, plus de grand suspens. Le poison se trouvant dans la bague avait la capacité de tuer un membre adulte de la famille Kenzo. Pour un individu lambda, c'était trois la dose nécessaire à le faire mourir avant de passer par le coma. Evidemment elle n'avait pas tout libéré, ayant conscience que même en crachant, ses plaies absorberaient un peu du liquide.
Entendant le score, qui était à coup sur 1-0 peu importe le vainqueur, elle faisait sortir le sang imbibé de toxine autant que possible. Sans oublier de garder le maigre artéfact qui avait décidé de sa vie et de sa mort. Alors c'était ça le cadeau? Avoir souffert toute ces longues 14 années, en avalant des substances qui la faisaient pleurer de douleur, et en arriver à tuer un pauvre ahuri en le mordant comme un chien? C'était donc ça, le grand "secret", qui sois disant ferait d'elle une vraie ninja ? Quelqu'un d' utile, lui avait-on dit. N'ayant pas le temps de se noyer dans un quelconque chagrin, elle sombra dans une léthargie profonde pendant plus de 72 heures, à peine arrivée dans sa chambre. Le bout de tissu assortis d'un métal gravé de trois signes ésotériques, digne d'un enfant de quatre ans lui furent remis à son réveil. Sans félicitation et sans aucun mot pour qu'elle se sente fière d'elle même. Comme lui disait son père, elle avait tué un des siens, elle ne voulait pas une médaille tant qu'on y était?

Encore des contraintes. Et qui ne lui avaient rien apporté à part d'encombrants bibelots fait dans des matières tout juste bonne a envelopper les fruit sur le marché. Des attrapes poussières aux reflets argentés.

Je me demande juste quelque chose. Le poison est donc situé dans une bague sur ta lèvre ? Cela signifie que si quelqu'un décoche un coup de poing à ton personnage, elle risque fortement de mourir ? Je suis pas du tout contre ce poison, je demande simplement quelques indications pour éviter d'avoir des problèmes en RP ! ^^
Idem pour le fait que "personne n'ait jamais vu l'intérieur de sa bouche". En 14 ans de vie, ce n'est pas un peu difficile ? Surtout si elle est colérique ?

Je me suis posé des questions pour le problème des yeux, mais je pense que la concentration de chakra dans les yeux est assez "plausible", on va dire. Bien sûr, on pourrait dire que ça n'a pas suffit à certains pour ne pas devenir aveugle ( ceux qui ont lu les scantrad comprennent ), mais bon, je pense que ce n'est pas utile de chipoter pour ça.

Par contre, attention aux petits oublis ! ^^

Citation :

Ses parents eux, refusèrent de devenir ninja, et sont de simples hommes et femmes d'affaires au pays du vent.

Hum.. je me pose juste une question. Un clan de quelques centaines de personne, ça n'en fait pas un clan relativement énorme ? Les Uchiwa avaient l'air de compter beaucoup de membres, c'est vrai, mais les Hyuuga, par exemple, ne sont pas beaucoup représenté alors qu'ils restent le clan le plus célèbre de Konoha.
Une centaine de personne, c'est déjà un clan majeure. Un clan "normal" doit compter peut-être... quarante ou cinquante personne ? Qu'en pense les modos ?

Citation :

Tout individu tentant de s'enfuir le jour du test était tué sans somation.

Je ne pas vraiment persuadé de ce que tu avances. A mon avis, Kiri a quand même assez de morts sur les bras durant cet examen. De plus, la honte sur la famille des fuyards doivent largement suffire à leur punition, surtout si la famille en question est aussi strict qu'on pourrait le trouver à Kiri.

Attention au nombre de lignes en RP. N'oublie pas de privilégier davantage l'action que la narration.

Sinon, c'est tout ce que j'ai à dire. Il y a donc quelques trucs à modifier, mais c'est vraiment sommaire, donc je te valide tout de suite après !

L'histoire de n'avoir pas vu l'intérieur de sa bouche est juste une sorte de rumeur, comme ceux qui pourraient dire d'untel qu'il a des yeux de démons. Ca ne signifie pas que c'est un vrai démon. Evidemment au sens litéral ce ne serait pas possible. Sa mère ou quelqu'un l'a bien élevé et donné à boire nourisson.

Je comprend, tu parles du clan des Uchiwa. Mais ce n'est pas à cause de l'abus de techniques qu'ils sont aveugles. Donc effectivement, cela pourrait être plausible.

Oui, ses parents ne sont pas des ninjas, ils ont obligation néamoins de faire partis du clan. Avec les informations qu'ils détiennent, on ne peut pas les laisser en liberté.

Le clan des Kenzo viens de Kiri. Nous ne savons pas vraiment si les clans comptent beaucoup de membres, contrairement à ceux de konoha. De plus les Hyuga ont un oeil spécial, tout comme les Uchiwa. Alors que le clan Kenzo a beaucoup de handicapes, est connus pour son sens de l'extrême et du sacrifice, mais ne sont pas connus pour détenir un artefact naturel spécial. Quand bien même ils en auraient un, il peut êter dangereux de le réveler. Exemple des Hyuga qui ont été persécuté pour réveler leur secret, ou du moins fournir un des leurs pour être étudié.
Secondement, le clan Uchiwa a été décimé, mais il comptais surement un bon nombres de gens. Le chiffre exacte nous ne pouvons que l'imaginer en lisant les scans ( et un jour les oeuvres reliées). Quand au clan Hyuga, il reste de même relativement mystérieux. Je tenais à spécifié que si le clan kenzo comptait des centaines de personnes, c'était parce que n'éyant pas révélé d'aptitude tel qye le Sharigan, ils avaient besoin d'être nombreux pour prétendre à leur droit d'exister.

Quand à l'execution à Kiri des fuyard. C'est le même traitement que pour les deserteurs de guerre. Un ninja faible à Kiri est tué parce que c'ets une perte de temps pour lui d'essayer de vivre. Tout les enfanst n'ont pas forcément envie de subir l'examen, par peur de la mort ou culpabilité. Si il n'y avait pas de menace personne n'irait si facilement à l'abatoir. L'atmosphère de Kiri est un tout, fait de terreur, fondée bien souvent plus qu'inventée comem propagande. Quand on parle de zabusa, il me sembel qu'il a décimé tout les enfants de sa promotion, ou quelque chose dans l'idée. ( peut être était-ce un autre ninja, mais cela remonte à longtemps pour moi.) Si ce genre de personnes naissent à Kiri et si on ne trouve rien de mieux que de décimer 50% de la population des 13-14ans chaque années, un deserteur n'est pas de trop. D'autant plus que cela fait primer la selection naturelle. Un enfant qui s'enfuit, c'est une chance suplémentaire de ne pas savori entre deux combatant lequel avait les capacités de vivre. Ce n'est pas de la cruauté ni de la folie forcément, c'ets comme uen tradition que personne ne pense à remettre en question, par peur , par banalisation de cette violence aussi peut être.

Enfin, pour ma manière d'écrire, je m'excuse. Je ne savais pas que je devais privilégier un aspect plutôt qu'un autre. Je trouve l'art de la contemplation assez important, et la construction psychologique du personnage encore plus. J'avoue aimer les longues discutions, qu'elles soient internes au personnage ou non; Mais je m'efforcerai bien sur de ne pas faire stagner une mission à d'intempestives remises en questions.

D'après ce que je te dis, désires-tu encore que je fasse des modifications? Je les effectuerais à ta nouvelle demande, mais je voulais savoir si mes arguments apportaient une nouvelle lumière à mes choix. Bien qu'ils n'aient pas une grande importance, et que je ne ferais pas toute une histoire pour dire que mon clan ne comporte qu'une cinquantaine de personnes au lieu de centaines.


Edit: à propos du poison. Il ya une manière particulière de libérer ce poison, même si à première vu, ça ne parait qu'une bête morsure dans le métal. Si n'importe qui tentait de briser cette bague il ne le pourrait pas, car seul son possesseur peu le liberer. Et il faut pour cela liberer une substance particulière qui n'est obtenue que dans certaines circonstance. Tout cela est en partie une question de chimie.

Je m'excuse aussi par avance de ne pas faciliter la rapidité. Je sais que tu- et les autres admins- avaient du retard du aux examens à rattrapper et que les revendications à des sujets qui peuvent paraitre triviaux sur une fiche n'aide pas.

Et bien, pour l'histoire de l'exécution des fuyards, je pense que tu t'avances un peu trop rapidement, car on ne connaît que très peu de Kiri. Justement, je pense que ces gamins sont conditionnés à aller jusqu'au bout de l'examen. Pour ceux qui ne le font pas, si cela existe, il est clair que le déshonneur est sur leur famille. Je ne pense pas que cela soit si facile de tuer un gamin et que c'est un avis assez personnel de ta part.

Pour le nombre de membres du clan, je pense toujours que c'est trop. En effet, pour toi, la population d'un village est de combien de personnes ? J'ai interrogé ceux qui connaissaient un minimum Naruto. On estime à un millier d'habitant les grands Villages Cachés. C'est approximatif bien sûr, mais au pire, ça ne doit pas dépasser deux milliers je pense.
Bref, dans ce millier d'habitant, je pense que la majorité n'est pas ninja, mais plutôt un tiers maximum. Si tu confirmes donc que le clan de ton personnage est composé de plusieurs centaines de personnes, vous allez rapidement arriver à une grande proportion de Kenzo par rapport à la population de Kiri !
De plus, le clan Uchiwa comptait certainement beaucoup de membres, mais il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'un des deux clans à être à l'origine de Konoha. Donc, s'ils ont réussi à perdurer, c'est sans doute par leur ancienneté. Ce que je veux dire c'est que, à présent, je doute que beaucoup de clans aient été aussi grands que celui-ci.

Donc voilà, je demande l'avis des modérateurs, voire d'autres personnes ( mais soyez modérés ), sur ces deux sujets, car je ne suis pas vraiment convaincu pour le moment.

Pour la façon d'écrire, ce n'est pas vraiment un problème. Je le rappelle un peu à tout le monde en général. Le fait est que Naruto est un manga qui réclame beaucoup d'action. Les personnages sont loin de passer leur temps sur leur réflexions personnelles. D'ailleurs, ce n'est pas vraiment vrai de dire que ces réflexions font évoluer les personnages car elles découlent elles-mêmes des actions des personnages. Or, si tu te lances dans une réflexion personnelle de vingt ou trente lignes qui exclue totalement ton interlocuteur, il n'y a plus d'intérêt à jouer avec quelqu'un. C'est un monologue.

Mais bon, je te fais confiance en RP. Tu sauras sans doute très bien te débrouiller... ce n'est pas la première fois que tu fais du RP de toute façon ! ^^

Je requiert l'avis d'un modo sur ce sujet ! Ou sinon, une réaction de la personne en question ! Dans le cas contraire, je vais devoir considérer la fiche comme abandonnée !!!

Pour les clans, je sais pas vraiment, je serais plus pour penser comme Naru et penser qu'un clan de quelques centaines de personnes est peut-être un peu trop gros pour un village caché. En prenant exemple sur Konoha, le village est remplit de petits clans, dont les Hyuuga qui est l'un des plus important du village. C'est sûr que les Uchiwa, eux, ils étaient nombreux mais eux ils ont eu droit à tout.XD Fondation de Konoha, un dojutsu puissant, une grand nombre de mebre et un génocide.XD Des enfants gâtés quoi. x3

Enfin, plus sérieusement, je suis pour dire qu'en général, les clans ne sont pas aussi grands que ça, peut-être une centaine de personne, mais ce n'est que mon avais.

J'ai coché l'option " me prévenir par mail en cas de réponse aux sujets surveillés " et celle pour les Mp,, cependant, je n'ai pas reçu de courrier depuis. Ma fois. J'ai donc bien fait de passer par curiosité. Franchement, on ne va pas en parler un millier d'année, on a qu'à dire qu'on est que 50 personnes dans mon clans, ou même 20 si vous préferez. Ca ne changera pas grand chose à ma façon de jouer, je ne les trimballes pas sur mon dos mes oncles et mes tantes! Le seul hic, c'est que je ne retrouve plus ou j'ai écris ce fameux nombre. Donc, si un admin le retrouve et veux bien le modifier en une cinquantaine de personne, merci d'avance, sinon je continu à chercher et j'éditerai. La dislexie c'est terrible: quand je cherche une chose précise je ne la retrouve plus juste parce que je la cherche... soupir.

Il n'est pas question d'en parler un millier d'années. C'est toi qui a commencé une justification sur ce sujet. Ensuite, tu as disparu pendant quelques jours donc c'est normal que ton inscription n'avance pas.
Tu as marqué "tous les jours" dans tes disponibilités. J'avoue que j'étais prêt à supprimer ta présentation... =X

Je t'ai dit que j'avais selectioné l'option " me prevenir en cas de réponse". Et je n'ai reçu aucun e mail. Normal que je ne sois pas venue. Et oui je me suis justifiée, mais je croyais que les autres admins allaient donner leur avis plus rapidement! Il n'y a que le GM7 qui s'est manifesté. Et je ne pensais pas que c'était si important ce nombre de personnes. C'est pour ça que j'ai imaginé qu'on allait pas en discuter des années. Entre nous ce qui m'a le plsu gêné c'est qu'on me demande de modifier quelque chose alors qu'aucun de nous ne peut apporter la preuve que mon clan ne pourrait pas contenir 300 personnes. Alors que c'est dans mon idée un clan qui était là avant que le pays de la brume ne se forme, ce qui signifie qu'il est ancien. Jamais il n'y a eu marqué " le clan hyuga ne compte que 200 personnes" ou autre. C'est des supositions. Franchement, doit-on speculer sur celui qui suposera la même chose que l'autre? Donc, puisque personne ne veut lacher le morceau, tout va bien, moi je le fais. ( et je n'arrive toujours pas à retrouver ou j'ai ecris qu'ils étaient environ 300, je suis bonne pour l'euthanasie).

Eh bien, les membres viennent en général tous les jours et n'attendent pas seulement leurs réponses à eux seuls ! Cela fait quelques semaines qu'on postent plein de messages importants dans le forum Suggestions. Donc c'est normal qu'on attendait une réponse plus tôt. Comme tu n'as pas pu le voir, nous allons changer d'administrateurs, qu'ils y allaient sans doute y avoir des modifications. C'est quand même important de suivre un peu la vie du forum... o_O

En effet, peu de monde a commenté ta fiche, c'est dommage mais tant pis. Peut-être qu'on croyait que tu avais déserté...

De plus, tu ne peux pas non plus justifier que c'est possible ! Si tu veux, je peux te faire un calcul !

Un ou deux milliers d'habitants à Kiri -> un tiers de ninja donc entre 300 et 600 environ -> clan Kenzo = ça ferait de la moitié à la totalité des ninjas.

Tu as ta justification. Pour le moment, je n'en vois aucune de plus convaincante. C'est tout. Si maintenant, tu as des informations exclusives et véridiques sur ce sujet, nous sommes tout disposés à t'écouter. Tu prends du temps pour t'expliquer, on fait de même, tu ne peux pas nous le reprocher.

Sinon, j'ai discuté de beaucoup de choses dans mon post d'avant et pas que du nombre de personne du clan...

Fiche abandonnée ?